L'auteur dresse l'histoire du mythe né de la prise de la Bastille, de l'événement jusqu'à sa reprise, pour mettre en lumière les mythes fondateurs de la Révolution française, puis les idéologies des différents régimes qui se sont succédé.
Le 22 juin 1940, la France signe une reddition déshonorante. Les chercheurs sont arrivés à la conclusion que la France faisait état d'une certaine fatalité due à la démographie et aux circonstances, et que cette défaite était inévitable voire excusable. Pour C. Quétel, l'armée et la classe politique sont responsables : elles auraient multiplié les erreurs stratégiques et économiques.
L'histoire de la Seconde Guerre mondiale est pour la plupart du temps évoquée du côté britannique, français, américain ou allemand. Les contributeurs proposent de nouveaux points de vue sur l'Australie, le Maroc, la Suisse ou encore le Canada francophone. Ils tentent ainsi de renouveler le regard sur le conflit et d'ouvrir de nouvelles perspectives.
L'historien propose une promenade à travers les siècles et les arts, la littérature, la chanson, le théâtre ou le cinéma pour retracer les circonstances de la mort (accident, assassinat, suicide, exécution) d'un certain nombre de célébrités mais aussi évoquer le destin d'hommes et de femmes qui n'ont atteint la célébrité que par leur mort. Néron, Göring, Maupassant, Zola sont notamment évoqués.